Découvre les résident·es 2024 et leurs super projets ! Cette année encore, il y a eut de tout : stylisme, création de jeux, musique,...
Antoine a réalisé sa résidence au cityfab 2 (Evere) !
Au travers de "Mirage", un projet de micro-architecture pour la culture végétale, Antoine a développé du mobilier et plancher de culture sous forme de kits modulables.
Ces kits sont conçus pour fonctionner comme une serre, tout en étant capables de se transformer en terrasse grâce à un principe d'assemblage par répétition. Cette flexibilité permet au produit de s’intégrer harmonieusement dans des environnements variés, qu’il s’agisse de petits espaces urbains ou de jardins plus vastes.
Ce kit innovant est une solution idéale pour intégrer des espaces verts dans des environnements urbains, tout en mêlant esthétique, utilité et durabilité.
Antoine a eu l’opportunité d’explorer les possibilités offertes par les machines de découpe laser et CNC, outils indispensables pour la réalisation précise et soignée de ses kits modulaires.
Pour en découvrir plus sur le travail d'Antoine, rendez-vous sur son site ou sa page Instagram.
Anouk a réalisé sa résidence au Fablab'ke (Molenbeek) !
A travers ses tableaux "mécaniques", Anouk invite les spectateur·rices à manipuler ses oeuvres pour révéler des éléments invisibles au premier abord.
Anouk Rabot a axé ses recherche au fablab dans l'optique d'intégrer la fabrication numérique dans sa pratique de plasticienne et de faire rencontrer sa démarche avec un jeune public (9-12 ans).
Elle a principalement utilisé la découpeuse laser pour travailler différentes types de matériaux (bois, papiers, gélatines, etc) intégrés ensuite à ses tableaux.
Paùlo, alias Non Merci, a réalisé sa résidence au Fablab Orange (Bruxelles).
Le projet musical de Paùlo a pour objectif d'explorer les rapports interactifs entre la pratique de musicien et le public grâce à la création d'outils et de processus participatifs.
Par quel moyen promouvoir la co-création dans le processus musical ? Comment faciliter les échanges créatifs entre un·e musicien·ne et ses auditeur·rices ?
Au travers de méthodes utilisées dans le design collaboratif, de nouveaux moyens d’interactions sont à créer. Pensés et mis en place au travers d'ateliers, de performances en direct ou encore d'installations, les dispositifs créés par Paùlo se veulent ludiques, spontanés et accessibles à tout le monde.
Paùlo, à l'aide d'outils comme l'impression 3D, la découpeuse laser et l'électronique, a su développer plusieurs objets sonores interactifs en bois qui captivent le public en l'invitant à manipuler et influencer la composition sonore : une anémone réagissant à la lumière, un corail dont les branches sont connectées à des potentiomètres, un banc de sardines où chaque poisson produit une note de musique et des éponges servant de sampleurs voix à la volée.
Une première version d'interaction avec le public a été testée lors d'une dizaine de performances à Bruxelles, à Namur et à Paris.
Pour découvrir l'univers de Non Merci, rendez-vous sur son compte Instagram.
Découvre le compte-rendu de résidence de Paùlo, alias "Non Merci" en vidéo :)
Victor et Hugo (collectif HAX) ont réalisé leur résidence au cityfab 3 (Anderlecht) !
Leur projet "BevelMatrix" est une imprimante 3D céramique open-source pour imprimer des carrelages décoratifs.
Ces carrelages, à la fois pour l'intérieur et l'extérieur, s'inspirent de l'univers des jeux vidéo avec des textures et des motifs uniques.
Durant plusieurs mois, ils ont conçu et réalisé une machine open source pour la production en série de carrelages en céramique en impression 3D. L'imprimante est fonctionnelle mais nécessite encore quelques ajustements, prévus en 2025.
Un projet innovant aligné avec les valeurs collaboratives des fablabs !
Pour en savoir plus sur leurs projets, allez jeter un œil à leurs comptes Instagram : Hugo - Victor.
Théa a réalisé sa résidence à la Micro Factory (Molenbeek) !
Le projet de Théa est de transformer des chambres à air usagées en briques.
Alliant artisanat et connaissances du design produit et des normes de production, sa réalisation se dirige vers diverses possibilités de construction avec la brique, allant de surfaces de sol aux étagères en passant par des tabourets ou encore des tables basses.
Durant sa résidence, Théa a favorisé l'exploration de solutions low-tech, alliant recyclage et design, avec un fort accent sur la modularité et l’innovation.
Elle a produit plusieurs dizaines de briques fonctionnelles et modulables, testées dans diverses configurations. Cette résidence a jeté les bases pour des usages créatifs et responsables, avec des applications potentielles dans les domaines de l’ameublement ou de l’aménagement urbain.
Manon a réalisé sa résidence chez OpenFab (Ixelles) !
Le projet de Manon a été de créer un jeu de cartes pour personnes mal-voyantes.
Afin d'aboutir à un jeu inclusif concret, Manon a commencé par rencontrer des membres d'EQLA (asbl pour les personnes mal-voyantes) afin de comprendre davantage le public cible du jeu pour les inclure au maximum. Elle a également décortiqué ce qui constitue les jeux de société pour n'en garder que les éléments fondamentaux.
Après plusieurs tests et adaptations, son projet a abouti en un jeu comprenant des objets et cartes pour lesquels elle a utilisé la découpe laser et l'impression 3D.
Madeleine a réalisé sa résidence au cityfab 1 (Laeken) !
Son projet consistait à faire de la recherche en patronnage minimal-waste et zero-waste.
L'objectif est de limiter au maximum les chutes de tissu en concevant des modèles dont les patrons s'imbriquent les uns avec les autres sur la surface du tissu. La découpeuse laser a été une réelle alliée pour lui permettre de faire cela.
Dans une démarche d'upcycling, Madeleine a également développé des pochettes réalisées à partir d'anciennes bâches publicitaires.
Marie a réalisé sa résidence à la Green Fabric (Forest).
Elle a développé un projet de recherche sur la couture collective en prenant comme thématique exemple la couture de la culotte.
Le but était d’imaginer et concevoir une « méthodologie » open source de chantier collectif qui permette d’obtenir une petite production textile locale et éthique en quelques heures. Le tout avec un groupe de personnes ne sachant, pour la plupart, pas nécessairement coudre. Ce chantier collectif comprend aussi un temps de réflexion et de partage sur la production textile et nos modes de consommation.
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